Je
découvre cette année qu'il existe plusieurs variétés de
coquelicot et pas qu'un peu. Des tout petits, des gigantesques,
avec des étamines très fournies ou éparses, des couleurs pâles
et des intenses, des pétales qui se chevauchent, d'autres pas.
Certains sont entièrement rouges, d'autres ont deux taches noires
au cœur ou quatre en forme de croix bordés de blanc aux pointes.
Les
identifier relève d'une gageure que je suis incapable de relever.
Dans les plus communs, on peut citer le pavot douteux (Papaver
dubium), le pavot hybride (Papaver hybridum), le pavot
argémone (Papaver argemone) et le plus commun Papaver
rhoeas...
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Hormis
ces minuscules insectes que je ne connais pas, il n'est pas rare
d'en trouver trois ou quatre de taille beaucoup plus importante
sur la même fleur. Les abeilles en particulier, butinent de façon
assez curieuse : elles se couchent sur le flanc et s'accrochent
aux étamines pour tourner en rond tout autour.
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Cliquez
sur les photos pour les agrandissements, c'est un régal de
délicatesse.
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mardi 9 juin 2009
Coquelicots
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